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Pas de place pour néo-nazis selon Ivanka Trump

FILE - In this June 15, 2017, file photo, Ivanka Trump listens as President Donald Trump speaks in the Roosevelt Room of the White House in Washington, during an event on Apprenticeship and Workforce of Tomorrow initiatives. Frustrated with her father, liberal advocacy groups are turning some of their focus to first daughter Ivanka Trump. In recent weeks, some activists have tried to pressure Ivanka Trump, appealing for her help on climate change, international labor conditions and immigration. The first daughter, an influential adviser to President Donald Trump in her own right, has sought to stay out of the fray. But the efforts underscore the politically charged position she occupies. (AP Photo/Susan Walsh, File) Photo: The Associated Press

« Il n’y a pas de place aux Etats-Unis » pour les néo-nazis, le racisme et les suprémacistes blancs, a écrit la fille du président des Etats-Unis, Ivanka Trump, quelques heures avant un rassemblement de suprémacistes à Washington.

Beaucoup reprochent à son père de n’avoir jamais condamné clairement ces mouvances depuis les incidents meurtriers du 12 août 2017 à Charlottesville (Virginie), dont des manifestants d’extrême droite entendent célébrer dimanche le premier anniversaire dans la capitale américaine.

« Il y a un an à Charlottesville, nous avons été témoins d’une démonstration répugnante de haine, de racisme, d’intolérance et de violence », a tweeté Ivanka Trump dans la nuit de samedi à dimanche.

« Même si les Américains ont la chance de vivre dans une nation qui protège les libertés, d’expression notamment, et la diversité d’opinions », a-t-elle poursuivi, « il n’y a pas de place pour le suprémacisme blanc, le racisme et le néo-nazisme dans notre grand pays ».
« Plutôt que de nous déchirer avec haine, racisme et violence, nous pouvons nous élever les uns les autres », a-t-elle ajouté.

Samedi, Donald Trump avait dit, dans un tweet, « condamner tous les types de racisme et actes de violence », sans désigner nommément l’extrême droite, le néo-nazisme ou les suprémacistes blancs.

Il y a un an, le président avait estimé qu’il y avait « des gens très bien des deux côtés » lors des événements de Charlottesville et avait également accusé les militants antifascistes d’avoir provoqué les manifestants, suscitant une vague de critiques.

Après des heurts, un sympathisant néo-nazi avait foncé en voiture dans une foule de manifestants antiracistes, tuant une jeune femme de 32 ans, Heather Heyer, et faisant 19 blessés.

 

 

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