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Melania Trump dit être «la personne la plus harcelée au monde»

FILE - In this Saturday, May 27, 2017, file photo, first lady Melania Trump sits as President Donald Trump addresses U.S. military troops and their families at the Sigonella Naval Air Station, in Sigonella, Italy. Melania Trump won’t be joining her husband at the 2018 G7 summit in Quebec or accompanying him to the meeting planned with North Korea’s leader in Singapore following the G7. (AP Photo/Luca Bruno, File) Photo: The Associated Press

La Première dame des États-Unis Melania Trump s’est présentée comme «la personne la plus harcelée au monde», dans un entretien diffusé jeudi sur la chaîne ABC.

Face à l’étonnement du journaliste, elle a concédé n’être peut-être que «l’une» des principales victimes de harcèlement. «Vous devriez voir ce que les gens disent de moi.»

Cette expérience explique son engagement dans la campagne «BeBest» contre le harcèlement en ligne, a-t-elle ajouté.

La discrète épouse de Donald Trump, qui se tient plutôt à l’écart de la politique, a tenu ces propos en marge d’une tournée africaine, qui l’a menée au Ghana, au Malawi, au Kenya et en Egypte la semaine dernière.

A cette occasion, l’ancienne mannequin de 48 ans a été vivement critiquée, sur les réseaux sociaux et dans la presse, pour avoir arboré un casque colonial. «J’aimerais que les gens se focalisent sur ce que je fais, pas sur ce que je porte», avait-elle commenté.

Elle avait également suscité des froncements de sourcils en juin lors d’une visite dans un refuge pour enfants clandestins, où elle était arrivée avec une veste sur le dos de laquelle étaient imprimés ces mots: «Je m’en fiche complètement, et vous?»

Dans l’extrait diffusé jeudi sur ABC, elle confie «apprécier» malgré tout sa vie de Première dame. «J’aime vraiment vivre à Washington et à la Maison Blanche», assure-t-elle, en se disant prête à soutenir son époux s’il souhaite briguer un autre mandat.

Celui-ci a régulièrement été accusé d’utiliser les réseaux sociaux pour s’en prendre à ses adversaires, sans craindre les coups bas. En juin 2017, il avait violemment attaqué une présentatrice de télévision critique, la qualifiant de «folle» et assurant l’avoir vue saigner «à cause d’une chirurgie esthétique au visage».

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