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L’Impact se Garde une petite gêne

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On dit souvent que dans le sport professionnel, les entraîneurs sont sur des sièges éjectables. Il semble que pour fouetter une équipe, il faille parfois se départir du coach, même s’il n’est pas nécessairement responsable des déboires de l’équipe.

Quand ton message ne passe plus, il faut du sang neuf, même si le message du nouveau risque d’être le même : «Let’s go, les boys, on tire au but».

Selon un gars sur Twitter, l’Impact aurait eu huit entraîneurs différents depuis 2010. Mercredi, Rémi Garde a été congédié et remplacé par un entraîneur lui-même congédié il y a huit jours par la pire équipe de la «ligne». Il nous semble que c’eût été une belle occasion d’offrir un poste à Bob Hartley, qui se morfond en KHL, mais ce sera pour une autre fois.

Plusieurs estiment qu’il s’agit là d’un geste de panique à la suite des déboires de l’équipe. Pourtant, l’Impact n’est pas en mauvaise position pour faire les séries. Mais la direction a choisi de ne pas garder Garde.

C’est d’ailleurs la seule note positive à tout ça. Le départ de Rémi Garde offre la possibilité de nombreux jeux de mots. «Changement de Garde à l’Impact», «Rémi Garde la tête haute», «Rémi regarde vers l’avenir».

Que savons-nous du petit nouveau, Wilmer Cabrera? Nous savons seulement qu’il est beaucoup plus fermé au chapitre du jeu de mots. Espérons que ça ne vient pas avec un plan de match aussi fermé. L’Impact a besoin de marquer des buts. Et quand ça arrivera, on pourrait lui dire : Wilmerci.

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