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Premier cas de dopage à Pyeongchang

PYEONGCHANG-GUN, SOUTH KOREA - FEBRUARY 06: Kei Saito of Japan trains during Short Track Speed Skating practice ahead of the PyeongChang 2018 Winter Olympic Games at Gangneung Ice Arena on February 6, 2018 in Pyeongchang-gun, South Korea. (Photo by Robert Cianflone/Getty Images) Photo: Getty Images

PYEONGCHANG, Corée, République de — Le premier cas officiel de dopage des Jeux olympiques de Pyeongchang a été annoncé mardi.

Kei Saito, patineur de vitesse sur courte piste japonais, a été déclaré positif à l’acétalozamide, un produit diurétique considéré comme masquant, qui peut cacher l’utilisation de d’autres substances bannies.

Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a déclaré que Saito a «accepté d’être provisoirement suspendu et de quitter le village olympique.»

Saito a échoué à un test antidopage hors compétition et selon le TAS, aucun des résultats enregistrés pendant les Jeux n’a été affecté. Son blogue officiel stipule qu’il est âgé de 21 ans et qu’il en était à sa première participation aux Jeux.

Le patineur a pris part à l’épreuve du 1500m, samedi, et devait aussi agir comme remplaçant au relais 5000m, mardi.

Durant les Jeux olympiques, les cas positifs tombent sous la juridiction du TAS, tandis que les contrôles antidopage relèvent de l’Autorité indépendante des tests antidopage (ITA), une nouvelle structure dirigée par l’ancienne ministre française des Sports Valérie Fourneyron.

Le TAS précisé que son panel chargé d’examiner les cas de dopage aux Olympiques prononcera son verdict final après la fin des Jeux.

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