Soutenez

La défense de K.C.: le vrai test est dimanche

Charlie Riedel / The Associated Press Photo: Charlie Riedel
Dave Skretta - The Associated Press

KANSAS CITY, Mo. — Jusqu’à tard en saison régulière, les Chiefs marquaient beaucoup, oui, mais leur défense était poreuse.

Ils accumulaient les matches où ils permettaient 30 points et 400 verges ou plus, bien qu’ils terrorisaient les quarts. Kansas City a obtenu 52 sacs (à égalité au sommet de la ligue), grâce notamment à Chris Jones, Dee Ford et Justin Houston.

Les choses ont commencé à changer lors de la semaine 17: les Chiefs ont muselé les Raiders dans un match qu’ils devaient gagner, pour être les mieux classés dans l’Américaine.

Et quand les détracteurs ont dit qu’il n’y avait pas d’enjeu pour Oakland, les Chiefs ont répondu avec un joyau défensif au deuxième tour, contre les Colts.

Mais le vrai test sera dimanche soir à la maison, face à Tom Brady et les Patriots de la Nouvelle-Angleterre. Les Chiefs veulent accéder au Super Bowl pour la première fois depuis 1970.

Comment une défense qui ressemblait à du fromage suisse, qui a accordé 43 points aux Pats en octobre, à Foxborough, est-elle devenue si intraitable?

«Ces deux derniers matches, nous avons limité les jeux explosifs, a dit le coordonnateur défensif, Bob Sutton. Nous avons été très solides. Et nous avons eu une seule punition en défense (dans les deux matches).»

Lors de leurs quatre revers, les Chiefs ont alloué quatre jeux de plus de 40 verges et 21 jeux d’au moins 20 verges. Ils ont été victimes de sept brèches du genre en novembre contre les Rams, qui ont finalement gagné 54-51, à Los Angeles.

Mais les Chiefs n’ont pas permis un seul jeu de plus de 15 verges contre Oakland, ou de plus de 30 verges face aux Colts. Indianapolis a obtenu un seul touché venant de l’attaque, tard au dernier quart.

De plus, les Chiefs ont disputé presque toute la saison sans leur demi de sûreté vedette, Eric Berry. Une blessure au talon l’a limité à deux matches, mais il sera à son poste contre les Patriots.

«Il m’a un peu pris sous son aile depuis mon arrivée, a dit le demi de coin Steven Nelson, membre des Chiefs depuis 2015. Nous l’appelons ‘Coach’, parce qu’il a beaucoup de connaissances. Il compte beaucoup pour notre équipe et notre défense. À chaque fois qu’il peut jouer, c’est une bonne chose.»

Articles récents du même sujet

Mon
Métro

Découvrez nos infolettres !

Le meilleur moyen de rester brancher sur les nouvelles de Montréal et votre quartier.