Un club d’affaires voit le jour à Anjou

Photo: Steve Caron/TC Media

Un nouveau regroupement de gens d’affaires voit le jour à Anjou: le Club d’affaires Anjou. L’organisme sans but lucratif devient le 18e club de la Fédération des Clubs d’affaires du Québec (FCAQ).

La formule des clubs d’affaires existe depuis 30 ans et l’objectif est de contribuer à la croissance et au développement des petites et moyennes entreprises du Québec, en misant sur le réseautage pour favoriser les échanges et les références au bénéfice des membres.

«Nous sommes un regroupement sélect de gens d’affaires et de professionnels. Au sein du club, il n’y a pas deux professionnels qui oeuvrent dans le même secteur d’activités et le nombre de membres est limité à 25. Ceux-ci ont une période de probation à passer avant de joindre officiellement nos rangs pour nous assurer de la qualité des membres», explique Luc Vaillancourt, président et fondateur du Club d’affaires Anjou.

En quelques semaines, le club angevin compte déjà 12 membres. Dans les prochains mois, M. Vaillancourt est persuadé de faire grimper ce nombre à 25.

«Tout se passe bien et la réponse est très positive jusqu’à maintenant. Le bouche-à-oreille et la publicité ciblée auprès des gens d’affaires font leur œuvre.»

Les membres du club se réunissent toutes les deux semaines à l’occasion d’un petit déjeuner, qui se tient de 7h30 à 9h.

«L’activité se tient tôt et à 9h tout est terminé, assure M. Vaillancourt, pour permettre aux participants de se rendre au travail. Au cours des déjeuners, chaque membre se présente et ensuite, selon la thématique de l’événement, des membres ou des invités spéciaux prennent la parole à l’occasion d’une petite conférence. Industrie de la construction, finance et gestion, les sujets sont diversifiés.»

Et qu’est-ce qui distingue votre regroupement d’une chambre de commerce traditionnelle? Nous sommes sélectifs dans le choix des membres et leur nombre est limité, répond le président.

Les références se font dans un bassin restreint, ce qui maximise les opportunités d’affaires pour les membres. Quand un membre en recommande un autre, cela se traduit davantage en «business» concrète et c’est la force d’un réseautage efficace, ajoute-t-il.

«Ce n’est pas péjoratif d’être sélectif. On veut juste s’assurer de la qualité des membres. Sans oublier qu’il y a toute la force de la FCAQ qui multiplie les occasions d’affaires», fait remarquer M. Vaillancourt.

On retrouve 18 clubs d’affaires membres de la FCAQ répartis sur l’île de Montréal, Laval, la Rive-Sud et la Rive-Nord. Pour consulter le site Internet de la FCAQ et les règles pour devenir membre d’un club d’affaires: www.fcaq.quebec.

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