Tu sais, j’ai chaviré depuis un certain temps. Je me retrouve ainsi hors de ma zone de confort trop près de ton univers. Tantôt déstabilisée, tantôt inspirée. J’affectionnais ces mystères dans mes rêveries impossibles. Maintenant, je n’attends que la fin de ceux-ci. Hiver, printemps, été et automne; un autre cycle ne survivra pas. Ce jeu de courtoisie, de regards furtifs parsemés d’incertitudes certaines, m’a épuisé.