Montréal

Des demandes pour le futur maire de Montréal

La DRSP a déjà accepté de mettre à jour les études sur la santé respiratoire, suite au dépôt de la première motion le mois dernier, tel que confirmé par le docteur David Kaiser lors de l’assemblée publique sur la qualité de l’air qui s’est déroulée à Pointe-aux-Trembles le dimanche 24 mars.

À quelques mois des élections municipales, plusieurs groupes ont fait part de leurs priorités aux candidats qui brigueront la mairie de la plus importante ville québécoise.

La Chambre de commerce de l’Est de Montréal (CCEM) a demandé au prochain maire des engagements importants en matière de développement économique et énergétique, de transport et de tourisme.

La CCEM a indiqué qu’il était essentiel que le maire fasse avancer le dossier de l’inversion du pipeline pétrolier Montréal-Sarnia qui pourrait alimenter l’importante industrie pétrochimique qui «assure une vitalité économique à la région».

«Les candidats à la mairie de Montréal doivent prendre des engagements clairs afin que l’Est de Montréal ne soit pas une pensée secondaire dans les discussions quant à l’avenir de la métropole», a indiqué le président de la CCEM, Denis Risler.

Il a réclamé que des améliorations importantes soient apportées en terme de transport collectif et d’infrastructures routières notamment pour rendre le territoire plus attrayant pour les individus et les entreprises

Selon la CCEM, le prochain maire devra aussi considérer le Pôle olympique, qui représente une opportunité de développement majeur et sans précédent pour Montréal en vue des célébrations du 375e anniversaire.

Pour le Français
Le Mouvement Québec français (MQF) a pour sa part déploré qu’aucun parti ne propose de solution pour contrer l’anglicisation de Montréal, rappelant que plusieurs services municipaux ne respectent pas les principes de la politique linguistique gouvernementale. Il a demandé que le français ait un statut de langue officielle dans la métropole.

«Si tous les services municipaux sont systématiquement disponibles en anglais, pourquoi serait-il nécessaire d’apprendre et d’utiliser le français», fait valoir Mario Beaulieu, le président du MQF.

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