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Culture

L'ascension de Robert Pattinson

Talia Soghomonian - Métro France

Lentilles jaunes et teint blafard, Robert Pattin­son a pris quelques minutes durant le tournage de New Moon pour discuter de la saga et de sa jeune carrière.

As-tu été surpris par le succès du premier épisode?
Je ne cesse de l’être! Même ici, sur le tournage. Hier,  il y avait 300 personnes qui attendaient pour nous apercevoir. C’est complètement dingue : chaque jour, je parle à quelqu’un qui adore, ou connaît quelqu’un qui adore Twilight! C’en est à un point où j’hésite à mettre le pied dehors. Même lorsque j’arrive dans un aéroport, il y a toujours un agent des douanes pour me demander un autographe pour sa fille!

As-tu abordé le rôle d’Edward différemment pour New Moon?
Oui, beaucoup. Je l’interprète désormais comme un fantôme, un produit de l’imagination de Bella. J’incarne davantage un souvenir qu’un personnage, ce qui est très bizarre. Je dois donner l’impression que le monde peut s’écrouler pour lui à tout instant.
 
On doit désormais t’offrir beaucoup de rôles. Comment fais-tu le tri?
Mon agenda est plein jusqu’à la fin de l’année et tous les rôles que j’ai choisis sont très différents. Je ne peux pas en dire plus, car les contrats ne sont pas tous finalisés. Je choisis mes projets uniquement en fonction du scénario et du personnage. S’ils me plaisent, c’est tout ce qui compte.

Plus jeune, étais-tu fan d’un acteur en particulier?
Gamin, je ne savais pas que j’allais devenir acteur. Lorsque j’ai commencé, il m’a fallu trois ou quatre ans pour réaliser que c’était bien mon métier. Mais si je devais choisir, je dirais Jack Nicholson et Jean-Paul Belmondo.

Reportage sur le plateau de New Moon, la suite de Twilight:

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