lang="fr-FR" > Métro au 7e ciel
Culture

Métro au 7e ciel

 

1

Le nouveau casting de Dancing with the Stars

On n’a jamais compris l’intérêt qu’il y avait à regarder une gang de has-been couverts de paillettes danser le mambo. La nouvelle distribution de Dancing with the Stars pourrait toutefois nous rallier à cette cause. Dévoilé en début de semaine, le casting de la 10e saison de cette téléréalité pique la curiosité. Outre les habituelles stars de roman-savon et autres sportifs, on retrouve Kate Gosselin (Jon & Kate Plus Eight), Nicole Scherzinger (la seule qui sache chanter dans les Pussycat Dolls), Shannen Doherty (la bitch dans Beverly Hills 90210) et la toujours aussi divertissante Pamela Ander­son. À voir dès le 22 mars sur les ondes du réseau ABC.  (Marc-André Lemieux)

2

  Les mardis à Mado

Fini les mardis ennuyeux! Exit le blues de l’hiver! Allez faire un tour au Cabaret Mado le mardi soir pour vivre une expérience où l’excentricité est au rendez-vous. Au Mardi à Mado, le spectacle met en scène des drags queen parodiant des chansons d’un répertoire allant des comédies musicales au dance moderne en passant par des vieux tubes des années 1950. Les drags sont toutes plus flamboyantes les unes que les autres. Elles vous aveugleront avec leurs robes à paillettes extravagantes et vous feront pouffer de rire avec leurs imitations désopilantes. Le spectacle est ponctué par les interventions de Mado, la maîtresse de cérémonie, qui ne se gêne pas pour faire des blagues grasses et vulgaires, mais ô combien appropriées pour la fête. Tous les mardis à 23 h au 1115, rue Sainte-Catherine Est.     (Geneviève Vézina-Montplaisir)

3

Scoop en DVD

Les raisons pour revoir ce classique des années 1990 sont multiples (certaines sont valables, d’autres pas) : le générique d’ouverture avec la pub gratuite pour les pains Weston, les jeans taille haute de Macha Grenon, les petites lunettes rondes de Roy Dupuis (pour un look plus «intellectuel»), une post-synchro déficiente (les acteurs donnent parfois l’impression de faire du lipsynch sur leurs propres paroles) et surtout, des intrigues qui tiennent encore la route, 18 ans plus tard.    (Marc-André Lemieux)

4

 

Le nouveau vidéoclip de Damien Robitaille
Avec son dernier album Homme autonome, Damien Robitaille nous a vraiment dévoilé son côté givré. Le chanteur continue de ne pas se prendre au sérieux dans le nouveau clip de la chanson On est né nu. L’auteur, compositeur et interprète se présente à nous dans un magnifique habit de ski-doo, dans un environnement ludique hivernal qui rendrait jaloux le Bonhomme Carnaval lui-même! Une réalisation de Renaud Gauthier à regarder à défaut d’assister à son spectacle de ce soir, au Club Soda, qui affiche complet… (Geneviève Vézina-Montplaisir)

5

Le Québec vu par Solange de Loisy

Québec, une dynamique créative (aux Éditions de La Martinière) n’est ni un dictionnaire des artistes d’ici, ni un guide touristique de la Belle Province, mais plutôt un recueil des coups de cÅ“ur artistiques québécois d’une Française. Solange de Loisy donne, dans ce livre superbement illustré par les photos de François Poche, ses impressions sur les manifestations artistiques au Québec. En ordre alphabétique, elle nous parle de son amour pour Jacques Godbout, Robert Charlebois, ou encore la série télé Un gars, une fille, tout en traduisant des expressions bien de chez nous telles que gougoune, icitte, niaisage. Un ouvrage qui plaira autant aux Français qu’aux Québécois. (Geneviève Vézina-Montplaisir)

6

Tahar Rahim dans Un prophète
Le triomphe du film Un prophète (présentement en salle) aux César ne tient pas du hasard. Tel un Martin Scorsese au sommet de son art, le Français Jacques Audiard dépeint avec un réalisme étonnant l’ascension d’un voyou de bas étage vers les hautes sphères de la mafia. Dans la peau d’un antihéros tourmenté, le nouveau venu Tahar Rahim se montre d’une justesse remarquable.    (Marc-André lemieux)

7

Michèle Laroque dans Oscar et la dame rose
Pour la deuxième adaptation cinématographique d’un de ses romans, Oscar et la dame rose (présentement en salle), Éric-Emmanuel Schmitt a su s’entourer d’un duo de comédiens hors pair. Le petit Amir, qui campe Oscar, un jeune garçon atteint du cancer, est très talentueux, mais le film ne serait pas ce qu’il est sans Michèle Laroque, qui interprète la dame Rose, qui fera des derniers jours de cet enfant malade des journées de rêve. L’actrice est juste assez déjantée pour l’univers fantastique de Schmitt et touchante quand il le faut; tout cela, sans tomber dans le mélodrame. (Geneviève Vézina-Montplaisir)


 Métro en enfer!
Cette semaine, on se désole pour…


Le placement de produit dans Desperate Housewives

Le placement de produits dans les séries de fiction ne nous a jamais dérangés pour une simple et bonne raison : on ne le remarque pas. Annoncez tout ce que vous voudrez tant et aussi longtemps que vous ne détournez pas notre attention de l’intrigue, voilà notre devise. Le créateur de Desperate Housewives, Marc Cherry, contrevient malheureusement à cette règle. En permettant à ses auteurs d’altérer le scénario de façon à multiplier les gros plans inutiles sur des téléphones cellulaires de marque Sprint (le principal commanditaire de l’émission), il nous déconcentre au maximum. (Marc-André Lemieux)

Qu’est-ce qui vous envoie au 7e ciel?
Partagez un coup de cœur en laissant un commentaire au bas de cet
article et votre commentaire pourrait se retrouver dans le journal!

Articles récents du même sujet

Exit mobile version