D’étonnants clichés montrent combien le désir de jouer des enfants est irrésistible malgré les conflits.
Bien que les enfants soient ceux qui souffrent le plus des guerres et des conflits, desquels ils ne sont absolument pas responsables, leur désir incontrôlable et irrépressible de jouer ne semble pas toujours être affecté par les bombes. Et, souvent, les ruines de leur ville deviennent un terrain de jeu.
Des enfants jouent dans des décombres qui défigurent la ville de Gaza en 2015.
En 2003, l’épave d’un blindé à Bagdad sert de module de jeu à de petits Irakiens.
À Berlin, en Allemagne, des enfants jouent sur un tank détruit au cours d’un bombardement pendant la Seconde Guerre mondiale.
Des écoliers d’un quartier catholique de Belfast en pleine partie de jeu aux côtés d’un soldat anglais en patrouille dans les rues de la capitale de l’Irlande du Nord, en 1981.
Des Londoniennes portant leur masque à gaz sautent à la corde sur la côte sud de l’Angleterre vers 1940.
Un soldat américain fait tourner une corde pour amuser plusieurs petits Anglais en 1944.
Des Syriens jouent au soccer dans le camp de réfugiés de Suruc, en Turquie, en 2015.
En 2016, des garçons jouent dans leur quartier à Qayyarah, en Irak, alors que des puits de pétrole mis en feu par État islamique brûlent à l’arrière-plan.