Au lendemain du lancement de son premier CD, Monde, le comédien et musicien Luis Oliva a passé la soirée dans la salle de rédaction de Métro mercredi afin de jouer le rôle de rédacteur en
chef invité. Ainsi, dans ce numéro, vous trouverez les commentaires sur les nouvelles du jour. Il a également demandé à notre journaliste Marie-Eve Shaffer de préparer un reportage sur l’organisme Solidarité Montérégie Amérique centrale.
Malheureusement, il y aura toujours des gens qui profiteront des plus vulnérables. D’un autre côté, l’ignorance de la loi n’est pas une défense valable en cour. Donc, je crois que c’est en grande partie la responsabilité de ces étudiants de s’informer sur les lois qui pourraient les protéger, et ce, avant de venir s’installer.
Des gens de cÅ“ur existent encore… Depuis quelques années maintenant, je côtoie les gens du SMAC et ce qui m’impressionne encore est le dévouement entier et sans compromis qu’ils ont pour une cause qui leur tient à cÅ“ur. Il n’y a aucun employé, que des bénévoles… de cÅ“ur. Ils aident des familles, des écoles et des enfants… J’aurais pu être un de ces enfants… Vous auriez pu être un de ces enfants…
Ne sommes-nous pas choyés? Nous vivons dans un endroit où les catastrophes naturelles ne sont pas annuelles. Oui, on a eu des déluges, le verglas… et les nids-de-poule. Mais il y a des coins de ce monde où la réalité est tout autre; les gens doivent constamment s’y retrousser les manches et reconstruire leur vie… quand ils survivent. Il faut souvent s’arrêter deux minutes et apprécier la vie, nos proches et notre situation extrêmement privilégiée sur cette planète. Oui, on est choyés.
Après avoir travaillé pendant quelques années dans des camps d’été avec des enfants de milieux défavorisés, j’ai compris que responsabiliser un enfant peut grandement le valoriser et affermir son estime de soi. Par ailleurs, un encadrement constant et structuré peut être sécurisant pour un enfant… Mononcle Yves est fier de vous.
Alors ça, j’ai très hâte de voir! Le débat sain est nécessaire à l’avancement de toute société… et en plus, ça fait toujours de la bonne télé! Si les gens invités sont, comme le dit l’article, des amateurs de débats avec le verbe facile, les flammèches seront sûrement de la partie. Je vais aller chercher un popcorn pour la première! En plus, avec Claire Lamarche à la barre de cette émission, les risques de débordements et de mauvais goût seront sans doute limités. Chapeau à Télé Québec d’avoir eu l’intelligence de faire appel à cette grande dame de la télévision québécoise!
Honnêtement, je suis le tennis… mais très peu. Ne vous ennuyez-vous pas des Expos? Moi oui, vraiment! J’étais vendeur dans les estrades lors des saisons 1992 à 1995. Un des plus beaux jobs que j’ai eus. Parlant espagnol, ayant ma passe d’employé au stade et une grande gueule, j’allais voir toutes les pratiques de «nos amours». J’ai même encore chez moi une balle signée par la presque totalité de l’équipe de 1993 (la meilleure) et des bâtons signés par des joueurs (dont Moises Alou et Dennis Martinez)… Ah, la nostalgie..
