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Mon coeur…

Tu te sens comme « une de mes victimes »… Victime de quoi? Moi, j’etais victime aussi: des rumeurs qui t’ont éloigné trop longtemps, de ta rage que m’a laissée sans comprendre qu’est-ce que s’est passait, de ma méconnaissance des procédures…J’aurais voulu hier t’inviter a prendre un café pour remplir les espaces en blancs, mais il y avait du monde et j’ai pas trouve le courage ou le moment…Je pense à toi…

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