Ce matin du 8 novembre je me suis levé sans savoir que je croiserais un ange. Le matin, je suis toujours dans le pâté, avec mon café Tim-Hortons, qui d’habitude ne me réveille pas trop… mais là tu m’a bien reveillé: avec ton allure naturelle, cheveux noirs, taille fine et un air très sympathique. Tu venais d’acheter des patisseries à la Patisserie Polonaise de la rue Ontario… On est descendus au métro Frontenac ensemble mais tu as pris direction d’Angrignon… et moi j’allais dans le sens inverse. J’aurais dû prendre le temps de te parler, d’autant que tu as croisé mon regard et souri. Bref. Je lance cette bouteille à la mer pour avoir l’occasion de revoir un jour ton noble visage