Il faut savoir aimer sans chercher à retenir.
Parfois, on perd ce qu’on aime parce qu’on s’y aggripe si solidement, que l’autre étouffe.
Je m’identifie beaucoup à celui que tu décris dans ton texte, et sache que de l’autre côté, il y a beaucoup de souffrance et la peur de l’abandon.
J’ai moi-même laissé partir une femme extraordinaire parce l’attachement me donnait le vertige.
Mais surtout parce qu’elle m’aimait si fort qu’elle m’étouffait et voulait me mettre dans une cage.
Je comprend ta décision d’abandonner. Sache que lui aussi aurait aimé une meilleure conclusion.
Gardez espoir.