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Bonheur éphémère ( mon coeur) tu aurais du au moins répondre à mes appels, et messages, juste par respect…

Comme toujours, à chaque appel…mes yeux était noyés de pleurs, ils étaient couronnés d’épines…c’est une étrange vision, que j’ai toujours reconnue, dans l’océan du chagrin mon pauvre cœur qui se noie dans la noirceur du silence, les vagues m’emportent là-bas ! Nul pars je le crains… Prisonnière du royaume de ton silence, même les requins crient en entendant les mots qui pleurent d’une âme solitaire, dans cette mer déchaînée tout s’enchaine, la pluie, le vent, même les nuages s’emmêlent, les deux camps mêlés, moi vêtue de la plume à l’encre de mes veines, toi de la plume aiguisée, tu as transpercé mon coeur d’une flèche mortelle , dure de se relever après tout les coups qui m’ont été portés, j’aurais voulu m’exiler vingt mille lieues sous les mers, en laissant mon coeur et mes yeux saignant d’une éternelle plaie, traînant ma fatigue au parfum d’algue, d’une âcre odeur de sel…je t’ai fuit et portant tout me ramène à toi, les souvenirs que tu as parsemés par si par là… Parce que moi je t’ai vraiment aimé, que je ne peux croire à ta cruauté…

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