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Au bel étalon frisé de la 170

Chaque matin kan je te voit à l’arret d’autobus de la 170, ton café à la main, je rêve d’etre a la place de ce café, bien au chaud contre ton coeur…Ton sourire m’éblouie et me réchauffe, même pendant des journées glacial ou tu n’es pas la. J’aimerais tant avoir le courage de t’avouer mes sentiment mais j’ai peur de ton rejet… Ta carrure, ton rire tonitruant, tes yeux lumineux m’intimident tant, et me font tellement d’effet. J’aimerais faire partie de ton monde, m’éveiller pres de toi chaque matin, entendre ton souffle dans mes oreille…
Si tu te reconnais, oui toi, avec ta tuque grise, ton manteau noir, ton macaron de la lutte contre l’austérité et tes cheveux friser attaché, viens me parler…

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