Je compte les jours jusqu’à la véritable arrivée du printemps pour te revoir débarquer au centre-ville sur ta belle moto argentée. L’été et l’automne derniers, chaque jour où je te croisais au coin University et Gauchetière quand tu prenais ton journal métro en attendant la lumière, casque en main, je te trouvais tellement beau, tellement mâle. J’ai hâte de te revoir à cet endroit, en espérant que ce sera bientôt. On pourra aller prendre une bière un jour si tu veux bien…