Montréal

Denis Coderre recrute un ancien d’Union Montréal et trois nouveaux visages

L’Équipe Denis Coderre pour Montréal a ajouté jeudi quatre nouveaux visages à son équipe dont Giovani Rapanà, l’ex-conseiller d’arrondissement élu en 2009 sous la bannière d’Union Montréal.

L’aspirant maire a aussi annoncé la venue de l’avocate de formation, experte en relations de travail, Joanne Despatis, qui se présentera dans L’Île-Bizard–Sainte-Geneviève, de Josselin Breton, un jeune avocat qui sera candidat dans Rosemont–La Petite-Patrie, et de Diane Rodrigue, dans Ahuntsic-Cartierville. Cette dernière cumule 30 ans d’expérience dans la fonction publique montréalaise: elle était notamment responsable du service administratif de l’arrondissement dans lequel elle se présente.

M. Rapanà, qui était conseiller d’arrondissement, sera candidat comme conseiller de ville à Rivières-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles. Il a été le premier candidat à quitter l’ex-parti de Gérald Tremblay, Union Montréal.

«Ce sont des gens qui vont nous permettre d’être en contact direct avec les gens, a lancé Denis Coderre. Avec Diane [Rodrigue], j’envoie un message aux employés de la fonction publique pour dire qu’ils font partie de la solution et que nous sommes les acteurs du changement.»

Une cinquième candidature devait être annoncée jeudi, mais le futur politicien a eu un empêchement.

Bien préparé pour le débat de l’INM

Denis Coderre se dit bien prêt à débattre avec Richard Bergeron, de Projet Montréal, Marcel Côté, de la Coalition Montréal, et Mélanie Joly, une candidate indépendante, vendredi lors d’une joute oratoire organisée par l’Institut du Nouveau Monde (INM).

«Il va être question de la participation citoyenne et de la jeunesse et les deux dossiers sont reliés, a affirmé M. Coderre. Jeune ou pas jeune, on est tous des citoyens et on doit s’assurer qu’il y ait une plus grosse participation à la prochaine élection.»

Il n’a pas voulu commenter le fait que l’INM n’ait pas invité le candidat indépendant Michel Brûlé.

«Ils m’ont demandé d’y aller, j’ai dit oui, alors j’y suis. Je vais débattre avec ceux qui sont présents. C’est à l’INM à s’exprimer», a conclu M. Coderre

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