C’était il y a 3 ans, presque jour pour jour. Le UFC ouvrait les portes de l’octogone aux femmes et nous faisait découvrir Ronda Rousey.
La belle Ronda Rousey, la dangereuse et belle Ronda Rousey.
Une médaillée de bronze olympique et vice-championne du monde de judo au sourire d’ange. Cette Rousey qui aura réussi à séduire la planète en piétinant, une par une, toutes ses adversaires pendant trois ans. Un règne de 12 victoires qui a pris fin cette nuit, après un terrible coup de pied somnifère d’une certaine Holly Holm.
En février 2014, à la sortie de son film l’ADN d’un champion, j’avais demandé à Georges St-Pierre ce qu’il pensait des combats féminins du UFC. Il m’avait répondu qu’il avait énormément de difficulté à regarder des femmes combattre. Ça lui faisait mal.
Ce matin, je suis tombé sur cette photo de l’AFP.
Je vais dire comme GSP. J’ai bien de la misère à regarder deux femmes, athlètes ou pas, se frapper dessus.