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Le monde de Logan Lerman, vedette dans The Perks of Being a Wallflower

Photo: Les films Séville

Contrairement à son personnage dans The Perks of Being a Wallflower, Logan Lerman a eu la vie facile à l’adolescence.

Dans The Perks of Being a Wallflower, inspiré du roman à succès de Stephen Chbosky – qui scénarise et réalise le film –, Logan Lerman joue un adolescent qui n’arrive pas à faire sa place. Heureusement, dans la vraie vie, le jeune homme de 20 ans a eu moins de mal que son personnage Charlie à tracer sa voie. Métro l’a rencontré.

Comment décririez-vous votre vie sociale au secondaire?
Elle n’était pas comme celle de Charlie. Je n’étais pas un solitaire. Si je n’étais pas comme Charlie, quelques-uns de mes amis l’étaient. J’ai donc pu m’inspirer d’eux. À l’extérieur de l’école, je n’étais pas le plus sociable, mais je connaissais tout le monde, je parlais à tout le monde. Toutefois, ce qui me passionnait, c’était de faire des courts métrages. Ce n’était pas le cas de tout le monde.

Avez-vous demandé à Stephen Chbosky à quel point son histoire était autobiographique?
Je ne le lui ai pas demandé, mais il nous donnait toujours des conseils personnels en nous précisant ce que chaque scène voulait dire pour lui. Ça m’a beaucoup aidé. C’est clair que l’histoire lui colle à la peau. Il connaissait tous les détails et savait comment il voulait les illustrer.

Comment était l’ambiance avec vos collègues Emma Watson et Ezra Miller quand la caméra ne tournait pas?
On passait tout notre temps ensemble. On vivait dans une petite aile d’un hôtel dans le milieu d’un centre commercial d’un quartier résidentiel de Pittsburgh. On restait dans le même corridor, dans des chambres côte à côte. Nos portes étaient toujours ouvertes, alors on se retrouvait dans la chambre de l’un ou de l’autre pour discuter ou jouer de la musique. On était comme une petite famille.

Comment entrevoyez-vous la suite de votre carrière?
Je suis privilégié de dire que je peux prendre mon temps entre chacun de mes projets. En ce moment, tout ce que je veux faire, c’est travail­ler avec des réalisateurs que j’admire. C’est tout. Participer à des projets qui vont me passionner. C’est mon seul plan de carrière. Il y a tellement de réalisateurs talentueux avec lesquels j’aimerais travailler : David Fincher, les frères Coen, Todd Field… La liste est très longue.

Pour voir la bande-annonce de The Perks of Being a Wallflower
En salle dès vendredi

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