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Rép à A. S. Pen

Le terme « épique » me va comme un gant… je vous réponds donc comme si votre message m’était adressé. Mais j’ignore quoi vous dire, puisque j’ignore qui vous êtes finalement. Je ne sais pas non plus ce que vous attendez de moi (si vous attendez quelque chose). Cela, malgré tous les « efforts généreux », comme vous dites, que j’ai déjà fournis pour qu’on puisse se rapprocher davantage. Alors, bien que je ne tienne absolument pas à ce que vous souffriez à cause de moi, je me sens plutôt mal à l’aise de continuer à écrire à un fantôme, même à un fantôme d’amour qui m’a obsédé autant que vous l’avez fait, en vain. Car j’avoue qu’à force de toujours me retrouver devant rien, mon sentiment amoureux s’érode, s’use et se dissout… Que dire de plus ?

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