Soutenez

Kushner utilise son courriel personnel au travail

FILE - In this Sept. 12, 2017, file photo, White House Senior Adviser Jared Kushner listens as President Donald Trump speaks during a meeting with Malaysian Prime Minister Najib Razak in the Cabinet Room of the White House in Washington. President Donald Trump's son-in-law, Kushner, occasionally used his personal email account to communicate with colleagues in the White House, his lawyer said Sunday, Sept. 24. (AP Photo/Alex Brandon, File) Photo: The Associated Press

WASHINGTON — Le gendre de Donald Trump, Jared Kushner, utilise parfois un serveur de courriel privé pour communiquer avec ses collègues de la Maison-Blanche, a reconnu son avocat, dimanche.

Au cours de la période s’étendant du mois de janvier à août, M. Kushner a envoyé ou reçu moins de 100 courriels à partir de son compte de messagerie personnel, a confirmé l’avocat Abbe Lowell, dans une déclaration écrite.

Me Lowell a ajouté que son client transférait vers des collègues des articles de journaux ou des éditoriaux. Le plus souvent, c’est une tierce personne qui amorçait l’échange de courriels.

L’avocat a soutenu que M. Kushner, un conseiller important de Donald Trump, utilise le serveur de la Maison-Blanche lorsqu’il discute de sujets touchant la Maison-Blanche. Aucun courriel privé n’a été transféré vers son serveur officiel.

Le site Politico a été le premier à rapporter que M. Kushner utilisait un serveur de courriel privé à la Maison-Blanche.

L’utilisation d’un serveur de courriel privé est une question délicate sur la scène politque américaine.

La candidate malheureuse à la présidence américaine, Hillary Clinton, a fait face à une enquête du FBI au sujet de l’utilisation d’un serveur de courriel privé lorsqu’elle était secrétaire d’État. L’ancien directeur du FBI, James Comey, a déclaré que Mme Clinton et ses adjoints ont faire preuve d’une «imprudence excessive» dans la manipulation de renseignements secrets. Toutefois, comme il n’y avait aucune preuve qu’elle a eu l’intention de violer la loi, aucune poursuite n’a été intentée contre elle.

La controverse a peut-être coûté l’élection à Mme Clinton.

Participant à un rassemblement partisan en Alabama, le président Trump a lancé à la foule qui scandait «emprisonnez-la»: «Vous devez en parler au (procureur général) Jeff Sessions».

Articles récents du même sujet

Mon
Métro

Découvrez nos infolettres !

Le meilleur moyen de rester brancher sur les nouvelles de Montréal et votre quartier.