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Le Canadien Français de Montréal

Photo: Ryan Remiorz/PC

Le Club de hockey The Montreal Canadiens est, selon les vrais analystes qui connaissent le sport, en train de passer un été des plus mouvementés.

Et quand on sait que l’été n’est même pas sur le bord d’être vraiment commencé, on peut comprendre à quel point cette affirmation est vraie.

Premièrement, l’embauche de Marc Bergevin, un gars qui fait des blagues et qui a fait plus de sourires en deux semaines que Bob Gainey et Pierre Gauthier durant toute leur vie adulte, en a déstabilisé plusieurs. Qui? On le sait pas, mais c’est ce qu’on dit dans le milieu. Fait que ça serait bête de pas le penser.

Ensuite, la surprenante surprise qu’on s’attendait à, soit la nomination de Michel Therrien à titre d’entraîneur-chef, a évidemment contribué à établir le changement de direction complète que le club de hockey est en train de prendre. Difficile de ne pas constater le changement drastique de philosophie chez Canadien, une philosophie complètement nouvelle, particulièrement quand tu regardes une photo de Michel Therrien derrière le banc (NDLR : en fait les seules photos de Michel Therrien derrière le banc de Canadien datent de plus de huit ans déjà, mais vous comprenez le principe…)

Cela étant dit, le travail de «renouvellement par le bas» de Marc Bergevin ne s’est pas arrêté là.

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Encore des francophones
Pas plus tard que cette semaine, Marc Bergevin, avec trop de temps entre ses mains en attendant le repêchage, a décidé de dépenser une autre fois l’argent de M. Molson. Et à voir les nouveaux produits avec des saveurs spéciales que sa compagnie d’eau flatte sort ces derniers temps, on se gênerait pas pour dire au beau Marc de se calmer le pompon si on était le patron. Toujours est-il que s’ajoutent au groupe déjà de moins en moins sélect de nouveaux employés de Canadien Martin Lapointe, Patrice Brisebois et Sylvain Lefebvre.

Des francophones, ou presque, qui pourront redorer le blason de Canadien avec une nouvelle touche toute spéciale : le parler français.

Et ça, personne n’est prêt à ça. Surtout pas eux.

Ça paraît pas, mais conjuguer le verbe être au passé simple, c’est moins facile qu’on pense.

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