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Une chance qu’il reste le rugby féminin

Photo: AP

Ça ne va pas très bien dans le sport professionnel montréalais par les temps qui courent. L’Impact a perdu neuf matchs de suite et se retrouve au dernier rang de toute la «ligne». Ils viennent bien d’embaucher un joueur désigné en forme de sauveur, mais ce dernier a déjà dit qu’il avait hâte de jouer pour New York ou Miami. Ça commence bien.

Les Alouettes, eux (elles?), n’ont plus vraiment de quart arrière. En fait, ils en ont trois qui ne sont pas très bons. Tellement que certaines rumeurs enverraient leur entraîneur de 44 ans sur le terrain. Imaginez, c’est comme si Jean-Jacques Daigneault décidait de revenir au jeu parce que Subban ne faisait plus le travail.

D’autre part, Eugenie Bouchard s’est encore plantée en première ronde d’un tournoi et Jacques Villeneuve a fait salade crèmeuse de chou blanc à Trois-Rivières dans sa voiture de livreur de poulet BBQ. Une 24e place. On est loin du 30 minutes ou c’est gratuit.

Et en plus de tout ça, l’automne vient de nous foncer dedans. Il fait froid comme de l’eau de roche.

Heureusement qu’il reste l’équipe de rugby féminin du Canada qui est rendue en finale de la coupe du monde, en France. Dommage qu’il ne nous reste plus de place pour en parler ici…

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