Oreillons: Canadien doit se méfier

Pendant que nous avions le dos tourné, à tenter d’endiguer l’épidémie d’Ebola, un virus presque aussi inquiétant, les oreillons, en a profité pour s’attaquer aux joueurs de hockey. Et comme tout bon virus en manque de visibilité, il a choisi une cible qui allait lui assurer la célébrité instantanée: le meilleur joueur de la «ligne», Sidney Crosby.

Malheureusement, la deuxième façon de faire parler de soi dans le monde du hockey, c’est de s’attaquer à la meilleure équipe au monde. Espérons que les médecins de Canadien sont au courant que l’équipe est ciblée.

Une épidémie d’oreillons chez Canadien pourrait être désastreuse considérant le gabarit de ses joueurs. Les frêles Desharnais, Andrighetto et Gallagher ne feraient pas long feu devant les oreillons, une maladie insidieuse qui se transmet par l’entremise du Gatorade orange (ou bleu), du mucus de ceux qui se mouchent avec pas de mouchoir, et par la salive. Et Dieu sait que cracher est essentiel pour un joueur de hockey qui veut montrer sa virilité.

Canadien doit agir immédiatement et mettre en quarantaine dans les gradins tout joueur ayant des symptômes bizarres comme une tendance à faire des passes dans les patins ou un problème au chapitre d’aller dans les coins de la patinoire. À commencer par Tom Gilbert.