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«En bon français, qu’il mange de la marde!»

C’est fait.

Après trois trophées du meilleur entraîneur, une Coupe Stanley et 501 victoires en 14 saisons dans la LNH, il était temps que le nom de Pat Burns soit immortalisé parmi les légendes du hockey au Temple de la renommée.

Pat Burns, tu l’aimais ou tu l’aimais pas. Je l’aimais pour sa fougue, son ardeur, son énergie et, surtout, son franc-parler.

J’ai dû remonter au début des années 90 pour retrouver la meilleure citation de l’ancien entraîneur du CH au tempérament bouillant.

Ce cher Shayne Corson, grand fan de «shooters» et de bagarres inutiles, s’était encore une fois fait expulser d’un bar. Burns, visiblement exaspéré, avait offert ce moment magique aux journalistes le lendemain pour expliquer le comportement de son attaquant.

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Non, des Pat Burns, on n’en fait plus des comme ça.

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