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Els aimerait bien un trophée de plus

Chris Johnston - La Presse Canadienne

HAMILTON – Ernie Els est arrivé à l’Omnium canadien RBC avec un trophée dans ses valises, et il espère bien en repartir avec un de plus.

Quelques jours seulement après son triomphe à l’Omnium britannique, Els s’est dit confiant d’avoir encore l’énergie pour avoir du succès au Canada.

«Je me sens en très bonne forme», a t-il dit.

Els a dû se contenter de cinq trous d’entraînement au Hamilton Golf and Country Club, cette semaine, mais il croit pouvoir maintenir le brillant niveau de jeu qu’il a montré au Royal Lytham & St. Annes.

Les célébrations de son quatrième titre en tournoi majeur ont été plus modérées que par le passé. Après sa victoire par un coup devant Adam Scott, dimanche, il est allé chez lui à Londres, pour une fête avec parents et amis en soirée, puis il s’est accordé du repos lundi.

Il a pris l’avion pour Hamilton mardi matin et mercredi matin, il a disputé une ronde en compagnie du chef de la direction de RBC, Gord Nixon. Il a eu très peu de préparation pour le parcours de Hamilton, qui accueille l’Omnium canadien pour la cinquième fois.

«Je ne sais pas si c’est vraiment un gros désavantage parce que souvent, si vous ne connaissez pas un parcours, vous ne savez pas où est le danger, a dit Els avec le sourire. Alors peut-être que c’est une bonne chose. Vous y allez comme à l’habitude, vous orientez vos coups selon vos préférences.»

Le Sud-Africain a amené la précieuse cruche remise au gagnant de l’Omnium britannique, la montrant avec fierté pendant son entretien avec les journalistes, mercredi. Sa présence donne de l’éclat à un tournoi mal situé dans le calendrier, et qui n’a pu attirer que six des golfeurs figurant au top 30 mondial.

À part Els, les noms les plus connus sont Matt Kuchar, Hunter Mahan et Jim Furyk. Tout ce monde a d’ailleurs des ententes de commandite avec RBC. Furyk aime par contre le terrain, où il a remporté l’Omnium une première fois en 2006 (il a défendu son titre avec succès l’année suivante). La conception traditionnelle du parcours, une normale 70, lui rappelle les terrains qu’il a connus dans sa jeunesse en Pennsylvanie.

«Si j’aime un terrain, je vais venir jouer, a dit Furyk. Ça n’a pas d’importance qui est là ou n’est pas là, ou bien quelle est la bourse.»

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