Microsoft Flight Simulator plane déjà sur PC depuis près d’un an. Aujourd’hui, le simulateur de vol étend ses horizons avec une sortie sur Xbox Game Pass et Xbox Series.
Tel qu’annoncé sur le site officiel, cette simulation utilise les données satellite offertes par Bing Maps pour créer une expérience de vol authentique. L’intelligence artificielle par infonuagique (cloud) Azure donne vie plus que jamais à notre planète à travers 37 000 aéroports, deux millions de villes et 1,5 milliard de bâtiments.
Pour son décollage sur Xbox Series, Microsoft Flight Simulator fait le plein de nouveautés. La première, les « vols découverte », est parfaite pour débuter son expérience avec le simulateur de vol. C’est un peu un tour guidé des plus grandes merveilles du monde du haut des airs, en passant de la pyramide de Khéops au Mont Everest. Une façon originale de partir à l’aventure autour du globe sans être un pilote averti.
De plus, Asobo Studio a apporté quelques modifications au niveau de l’exploration. La carte du monde affiche désormais de l’imagerie satellite, des étiquettes et des points d’intérêt à découvrir. Tout peut être activité en plein vol, ce qui va certainement améliorer la qualité de l’expérience au global. Dans une même optique de plaire, les développeurs ont revu le programme de pilotage afin de limiter sa courbe d’apprentissage qui était abrupte. Il y a un total de 22 leçons, du maniement de base à l’envol sans oublier l’atterrissage.
Les pilotes pourront aussi profiter d’un ajout important : l’assistant de vol, une intelligence artificielle qui partage de précieux conseils. L’IA peut également se charger de l’atterrissage et changer la direction de vol, par exemple.
Enfin, Microsoft Flight Simulator a ajouté plusieurs options d’atterrissage sur l’eau. Puisque notre planète est composée à 71 % du précieux liquide, offrir une alternative aux aéroports est bienvenue. Plusieurs avions possèdent désormais des flotteurs (en option) ainsi que des pneus larges pour atterrir un peu n’importe où. Le but ici est de rendre le jeu plus accessible, car atterrir dans un aéroport est une expérience complexe.
Un texte de Michael Bertiaux de Jeux.ca