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Taylor Lautner et la fin de Twilight

Photo: Andrew Cooper

La rançon de la gloire
«Je ne suis pas allé dans un magasin depuis longtemps et je n’ai pas visité un parc d’attractions non plus, mais j’ai trouvé une façon d’aller au cinéma, dit Lautner. Je dois porter un déguisement, mais la plupart du temps, ça ne fonctionne pas. Je ne sais pas trop pourquoi. Je commence à me dire que je devrais me mettre des prothèses sur mon visage, parce qu’à chaque fois, je m’enfonce une casquette de baseball sur la tête et je mets des lunettes fumées. En me regardant dans le miroir, je me dis ‘‘Super, je suis prêt. Je ne me ressemble pas du tout.’’ Mais dès que je mets le pied dehors, c’est comme si je ne portais rien.»

Ce qui est bien dans la fin de Twilight
«Je ne serais pas triste de ne plus devoir enlever mon chandail», dit-il. Pour ses projets futurs, il se dit qu’il faudra qu’il se demande «s’il est logique que le personnage doive enlever son chandail dans les scènes. Ou si c’est juste inutile comme ‘‘Oh, il fait chaud ici, je vais me dévêtir.’’»

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Prochains contrats
«J’ai un accord contractuel depuis un an et demi. Je fait équipe avec Bryan Singer pour un long métrage. C’est un filmo basé sur l’histoire de personnes ayant vraiment existées, donc il a fallu faire beaucoup de recherches avant de pouvoir commencer à écrire le scénario.»

En résumé
Lautner a commencé la franchise Twilight quand il n’avait que 15 ans. «C’est fascinant de voir comment un jeune qui passe de 15 ans à 20 ans peut grandir et prendre de la maturité. Ça s’est fait à un rythme vraiment accéléré.»

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