5 façons de relier les plus pauvres de la terre à l’internet

Satellites. Au début du mois de janvier, Virgin et Qualcomm ont annoncé qu’ils investiront dans une «constellation» de 648 satellites légers, en orbite basse et à faible latence qui permettront à des fournisseurs de services mobiles d’offrir une connectivité internet haute vitesse dans des régions où celle-ci coûterait trop cher à fournir de façon conventionnelle.

Drones. En 2014, Google a fait l’acquisition de Titan Aerospace, une société spécialisée dans le développement de drones alimentés à l’énergie solaire et capables de se maintenir à 20 000 m d’altitude pendant 5 ans. Ces appareils pourraient un jour permettre au géant des moteurs de recherche de fournir des services internet dans des zones reculées.

Lasers. Facebook met au point des drones alimentés à l’énergie solaire et équipés de dispositifs de transmission optique. Le réseau social espère pouvoir utiliser des lasers pour l’envoi de messages entre ces drones et des infrastructures à terre. Cette technologie pourrait transmettre des données à une vitesse comparable à celle des câbles de fibre optique.

Lantern. La compagnie Outernet est en train de développer un dispositif baptisé Lantern, qui sera conçu pour être un «récepteur à haute vitesse étanche, alimenté à l’énergie solaire et entièrement autonome» qui sera «capable de créer un point d’accès sans fil pour permettre à des appareils WiFi d’accéder à du contenu».

Application. L’an dernier, Facebook a lancé une application Android qui offre un accès gratuit aux données de certains services, dont Google, Wikipédia et Facebook. Grâce à cette application, les utilisateurs peuvent consulter – sans frais – un ensemble de sites utiles consacrés à la santé, à l’emploi et aux informations locales.