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Jeux olympiques: Place au hockey sur gazon

RAIPUR, INDIA - NOVEMBER 29: Adam Froese of Canada chases the ball during the match between Belgium and Canada on day three of The Hero Hockey League World Final at the Sardar Vallabh Bhai Patel International Hockey Stadium on November 29, 2015 in Raipur, India. (Photo by Ian MacNicol/Getty images) Photo: Archives Getty

C’est aujourd’hui que débutent les Jeux olympiques de Rio.

Des Jeux où flotte, comme chaque fois qu’il y a des Jeux, une odeur de scandale. Évidemment, toutes les infrastructures ne sont pas au point. Il y a aussi cette histoire de drogue mettant en vedette des Russes, quelques autres Russes et beaucoup d’autres Russes.

Zika
De plus, selon des sources, la qualité de l’air à Rio serait encore pire que la qualité de l’eau à Rio, ce qui n’est pas peu dire. Enfin, il y a ce fameux virus Zika qui a semble-t-il fait peur à beaucoup d’athlètes. Même Milos Raonic n’ira pas à Rio de peur d’attraper le Zika pendant qu’il est enceinte.

Heureusement, dès le coup d’envoi, nous aurons oublié toutes ces histoires. Nous nous concentrerons sur le sport à l’état pur. Nous serons ébahis par les sportifs de tous azimuts qui savent conduire un cheval, un bateau ou une carabine dans les disciplines hautement athlétiques que sont l’équitation, la voile et le tir. Et que dire du golf? Savoir adapter son swing à une bedaine de bière naissante relève de l’exploit olympique, il va sans dire.

Le gazon
Évidemment, nous concentrerons notre couverture sur le sport qui nous touche le plus: le hockey sur gazon. Le Canada affrontera l’Allemagne demain. On pourrait qualifier ce match de combat de titans si on ne connaissait pas vraiment le hockey sur gazon. L’équipe canadienne est presque exclusivement composée de joueurs provenant de la Colombie-Britannique.

Si vous voulez notre avis, il ne leur manque que le Britanno-Colombien le plus important, Brendan Gallagher, pour aspirer aux grands honneurs. Nous allons suivre ça avec beaucoup d’intérêt demain, juste après être allés couper notre pelouse.

«Mais il faisait pas l’unanimité de tout le monde.» – Daniel Brière

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