Culture

Offrir le meilleur du septième art

réalisateur

Fanny et Alexandre, d’Ingmar Bergman

Qu’il soit de fiction ou documentaire, le cinéma est destiné à faire vivre des émotions fortes. Offrez des moments cathartiques à vos proches grâce à ces grands classiques du septième art.

La dolce vita

Le maestro Federico Fellini vous propose un film dramatique italien mettant en vedette Marcello Mastroianni et Anita Ekberg. Gagnant de la Palme d’or du Festival de Cannes de 1960, La dolce vita raconte l’histoire d’un journaliste à potins à la recherche de l’amour et du bonheur. Une course folle de sept jours et sept nuits dans Rome.

Le sacrifice

Tourné en moins de deux mois en Suède, Le sacrifice, du réalisateur russe Andreï Tarkovski, raconte l’histoire d’Alexander (Erland Josephson). Alors qu’une guerre nucléaire mondiale est déclenchée, Alexander fait le vœu à Dieu de renoncer à ce qui lui est le plus cher et de ne plus prononcer une parole si tout redevient comme avant.

Fanny et Alexandre

Cette œuvre d’Ingmar Bergman a d’abord été un film télévisé divisé en 4 parties totalisant 312 minutes. Il a ensuite été offert en salle en version de 188 minutes. Le film dépeint la vie d’un jeune garçon, Alexandre, et de sa sœur Fanny au sein d’une famille aisée, les Ekdahl. Les deux enfants subissent le remariage de leur mère avec un prédicateur tyrannique.

Trilogie de la vie

Le décameron, Les contes de Canterbury et Les mille et une nuits composent un triptyque débauché. Dans cette œuvre, le réalisateur Pier Paolo Pasolini défie la culture de consommation et célèbre le corps humain non corrompu, tout en commentant les mœurs et les hypocrisies sexuelles et religieuses de son époque.

La nuit américaine

Le réalisateur François Truffaut se met lui-même en scène dans ce long métrage qui raconte l’histoire de Ferrand (François Truffaut), un cinéaste qui fait face à une panoplie d’imprévus au cours du  tournage de son film. Les parallèles entre la vie réelle et les rôles des acteurs sont permanents; c’est un film dans un film.

Le charme discret de la bourgeoisie

Comédie française du réalisateur surréaliste espagnol Luis Buñuel, Le charme discret de la bourgeoisie dénonce les conventions et la bienséance de la bourgeoisie à l’occasion d’un repas entre trois notables, repas qui n’a jamais lieu pour des raisons tout aussi absurdes les unes que les autres.

Le décalogue

Ce que le réalisateur polonais Krzysztof Kieślowski vous propose avec Le décalogue, c’est une suite de 10 films d’environ 55 minutes chacun. Inspirés du décalogue biblique, les films, produits par la télévision polonaise, mettent en scène des habitants d’un même quartier en périphérie de Varsovie, résidant pour la plupart dans le même immeuble.


Tous ces films sont proposés en DVD ou en Blu-ray.

Articles récents du même sujet

Exit mobile version