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Les effets d’un mois sans alcool

mois sans alcool

Vous posez la bouteille pendant le «Dry January» ou prévoyez relever le défi 28 jours sans alcool? Voici les impacts positifs sur votre corps. 

1. Santé du foie améliorée  

Après un mois sans alcool, on constate: 

L’alcool est l’une des causes les plus fréquentes des maladies du foie, comme la cirrhose et l’hépatite alcoolique. La raison? L’éthanol, une substance contenue dans l’alcool, cause des lésions aux cellules hépatiques.  

Sources: étude de l’University College de Londres et du Royal Free Hospital (2015); Organisation mondiale de la santé. 

2. Meilleur cardio  

Après un mois sans alcool, 

Sources: étude de l’University College de Londres et du Royal Free Hospital (2015); Organisation mondiale de la santéBritish Journal of General Practice.  

3. Perte de poids 

Eh non! Un verre de vin n’équivaut pas à un verre d’eau. 

SourcesÉtude de l’University College de Londres et du Royal Free Hospital (2015); École de santé publique de Harvard

4. Peau radieuse 

Source: étude de l’Université de Sussex (2019). 

5. Santé mentale bonifiée 

Après un mois sans alcool, 

La raison? L’alcool est un psychotrope ayant des effets sur les zones du jugement dans le cerveau. Il augmente aussi la dépression et l’anxiété. 

Sources: étude de l’Université de Sussex (2019); Organisation mondiale de la santéBritish Journal of General Practice

6. Prise de conscience par rapport à la consommation 

Après un mois sans alcool:  

Source: étude de l’Université de Sussex (2019). 

Attention à l’effet rebond! 

Malgré tout, il faut quand même faire preuve de prudence avec ce type de défi.  

Selon Éduc’alcool, la privation d’alcool ponctuelle peut créer un «sentiment de manque à gagner». Un peu comme avec un régime, on peut avoir envie de se féliciter en consommant le «fruit défendu» une fois le défi terminé. Résultat? La consommation d’alcool peut augmenter le mois suivant et dépasser les normes de modération véhiculées par Éduc’alcool, annulant ainsi les bienfaits de la pause. 

Êtes-vous dépendant.e? Oui, si… 

  • votre consommation cause des problèmes autour de vous ou dans votre quotidien; 
  • vous constatez des changements importants dans votre humeur;  
  • vous éprouvez des symptômes de sevrage (dépendance physique); 
  • vous consommez pour vous sentir mieux, pour vous détendre ou pour surmonter vos problèmes;  
  • vous vous sentez en manque lorsque vous arrêtez de boire.  

Sources: Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH)Gouvernement du Québec, Éduc’alcool.  

Qui est 100% sobre? 

  • Dans le monde: 56% des adultes 
  • Au Canada: 35,5% des adultes 

Source: Organisation mondiale de la santé (2016)

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