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Marie-Mai est le reflet du bonheur

Marie-Mai Mirroir Photo: Collaboration spéciale

Marie-Mai dit avoir mis beaucoup d’elle-même dans son quatrième opus, Miroir.

Elle en a fait, du chemin, Marie-Mai, depuis ses débuts à Star Académie. Et à 28 ans, la jeune femme dit se sentir à une «nouvelle étape» de sa carrière : «C’est mon quatrième album, donc c’était le moment pour oser des changements, pour me permettre de faire ce qui me plaisait. Si j’ai envie d’avoir une chanson acoustique sur mon disque, il y en aura une. Si j’ai le goût de mettre une chanson rock, ou électro, je vais le faire. Donc, ça donne quelque chose de super varié.»

Et ce n’est pas que du côté du style musical que le changement s’est opéré, assure la chanteuse. «Je me sens tellement heureuse dans ma vie personnelle et professionnelle que je veux que ma musique le reflète, lance-t-elle. Avec Miroir, c’était important pour moi de parler de ce bonheur, de le mettre en musique et en paroles. Je pense que les gens vont découvrir une autre facette de moi, moins sombre, mais toujours aussi entraînante, intense. Je garde l’électro, les guitares, l’énergie, tout en parlant de sujets différents.»

Marie-Mai explique cet aspect plus personnel qui teinte ses chansons par le fait que, pour la première fois, elles n’ont pas toutes été composées en compagnie de son mari et guitariste, Fred Saint-Gelais – à qui elle dédie la pièce Jamais ailleurs. «Normalement, on est ensemble du début à la fin, mais cette fois-ci, comme j’étais parfois en promo en France, il m’envoyait des musiques instrumentales, et moi je travaillais la mélodie et les paroles de mon côté, explique-t-elle. Ç’a donc donné quelque chose de très personnel, puisque j’étais toute seule quand je composais, et donc vraiment face à mes émotions et à ce que je vivais dans le moment présent.»

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Si les textes qu’elle a écrits sont principalement en français, deux titres dans la langue de Shakespeare se sont glissés sur Miroir. Après la France, les États-Unis? «C’était vraiment plus pour le plaisir, assure la jeune femme. Mes fans savaient que j’avais travaillé sur un mini-album en anglais, et je voulais leur faire connaître ces chansons-là parce qu’on m’en parlait beaucoup. Mais sinon, j’ai constaté qu’avec ma carrière au Québec, avec les développements en France, je me voyais plus ou moins recommencer à zéro en anglais. C’est vraiment important pour moi de chanter en français, et plus ça va, plus je me rends compte de la chance que j’ai de faire ce que j’aime… venant de là où je viens!»

Miroir
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