L’École de technologie supérieure (ÉTS) a dévoilé, le 24 septembre dernier, la place des Réflexions. Elle comporte une œuvre de l’artiste Linda Covit intitulée Autoportraits.
«C’est un deuxième parc arborant une œuvre d’art que nous inaugurons en un peu plus d’un an. C’est une belle continuité de notre engagement à verdir notre campus et Griffintown, en plus de faire rayonner l’art d’ici», explique le directeur général de l’ÉTS, François Gagnon.
L’événement a été mis en place dans le cadre des Journées de la culture. Pour l’occasion, un parcours de sept œuvres d’art a été conçu sur le campus de l’ETS. Le nouvel espace vert de Griffintown a comme objectif de rassembler les membres de la communauté de l’ETS. Mais aussi la population du quartier, autour d’un seul et même parc.
L’appellation «place des Réflexions» fait écho à la lumière des astres, des étoiles et des galaxies. Ce nom fait également référence aux établissements d’enseignement universitaires qui jouent un rôle comme lieux de réflexions ou de débats.
La création de cette place s’inscrit dans la foulée des recommandations issues des consultations du Plan de développement urbanistique de l’ETS. À l’époque, certains avaient laissé entendre que le personnel, les enseignants et les étudiants souhaitaient davantage de verdissement. Et davantage d’œuvres d’art à proximité de l’école.
Une structure monumentale sur le campus de l’ÉTS
L’œuvre Autoportraits de Linda Covit est une structure haute de six mètres. Elle a été réalisée à l’aide de plaques d’acier inoxydable. Sur l’œuvre, on peut apercevoir quarante chiffres: seize représentant le nombre un et vingt-quatre autres représentant le nombre zéro. Ceux-ci épellent le code binaire «ÉTS» de l’université.
La place des Réflexions est située en face de l’ETS au coin des rues Notre-Dame et Peel.