Les hospitalisations sont toujours en baisse au Québec, avec une diminution de 93 hospitalisations dues à la COVID-19, pour un total de 2637 personnes présentement hospitalisées dans la province.
Du côté des admissions aux soins intensifs, on note une baisse de 13 personnes, pour un total de 191 personnes admises aux soins intensifs dans les hôpitaux québécois.
La province recense 42 nouveaux décès dans les dernières 24 heures, pour un total de 13 378 personnes décédées depuis le début de la pandémie.
Les infections atteignent pour cette nouvelle journée le chiffre de 3592 nouveaux cas. Cette donnée n’est toutefois pas représentative du nombre réel de cas, puisque le dépistage est limité à un nombre restreint de personnes.
Hospitalisations actives dans les hôpitaux de Montréal
Hôpital | Hospitalisations actives | Variation depuis la veille |
Institut de cardiologie de Montréal | 9 | -1 |
Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal | 95 | -7 |
Hôpital général de Montréal | 40 | 0 |
Hôpital général juif | 117 | +4 |
Centre hospitalier de St. Mary | 56 | +3 |
Hôpital Maisonneuve-Rosemont | 124 | -8 |
Hôpital de Verdun | 40 | -2 |
CHU Sainte-Justine | 28 | +2 |
L’Hôpital de Montréal pour enfants | 7 | -4 |
Hôpital neurologique de Montréal | 6 | +1 |
Hôpital Royal Victoria | 68 | -2 |
Hôpital de LaSalle | 3 | +1 |
Hôpital général du Lakeshore | 45 | -4 |
Hôpital de Lachine | 8 | 0 |
Hôpital Fleury | 30 | -1 |
Hôpital Jean-Talon | 29 | -5 |
Hôpital Santa Cabrini | 57 | -1 |
Centre hospitalier de l’Université de Montréal | 87 | -1 |
Hôpital Notre-Dame | 54 | -1 |
L’INSPQ appelle à la vigilance
Malgré la baisse des hospitalisations qui semble se maintenir depuis quelques jours, l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) fait tout de même une mise en garde dans son dernier rapport, publié mercredi.
Même si le pic des hospitalisations semble avoir été atteint début janvier, une remontée en février n’est pas un scénario totalement exclu, selon l’Institut. Le retour en classe et les nouvelles mesures d’assouplissement pourraient créer une remontée des cas, des hospitalisations et des décès.
Le scénario optimiste de l’INSPQ se base sur l’idée que le nombre de contacts sociaux augmentera légèrement après les assouplissements. Dans cette situation, l’Institut prévoit une stabilisation ou une légère hausse des hospitalisations.
Sa projection plus pessimiste suppose que le nombre de contacts sociaux augmentera considérablement à la suite des assouplissements. Dans ce cas, les hospitalisations et les décès pourraient augmenter de manière substantielle en février.