Après s’être fait connaître comme «la fille de l’UQAM» et avoir attiré l’attention des sites à potins pour s’être entré des Gummy Bears dans le derrière en direct sur Internet, l’entrepreneuse et créatrice de contenu Hélène Boudreau figure dans un vidéoclip et veut travailler à l’international.
Bien qu’elle ait même «la fille de l’UQAM» tatouée sur le corps et que «ça fait partie d’elle», Hélène Boudreau ne veut pas se limiter au Québec pour faire de l’art et de la création de contenu, dont de la porno.
Son prochain objectif est de sortir de la Belle Province pour se faire connaître ailleurs dans le monde, notamment en France et aux États-Unis, indique-t-elle en entrevue avec Métro.
Elle décollera d’ailleurs la semaine prochaine pour Los Angeles, en Californie, afin d’y créer du contenu pour son site XXX. «Je me suis fait beaucoup de contacts là-bas donc j’ai vraiment de bonnes opportunités. Je suis connue ici, mais on s’entend que j’ai fait le tour du Québec», explique-t-elle.
Or, elle espère pouvoir passer la frontière américaine en dépit de ses démêlés avec la justice à Hawaï (elle a été arrêtée pour avoir fait une randonnée illégale) qui ne sont toujours pas réglés. «Si je vais à Hawaï, je vais en prison. Mais si je vais à Los Angeles, c’est correct», dit-elle.
Un vidéoclip avec Fadi Kod
On pourra d’ailleurs bientôt apercevoir Hélène Boudreau dans le vidéoclip de Fadi Kod, un chanteur et producteur québécois d’origine libanaise reconnu à l’international.
C’est pour sa chanson Wala3, qui signifie «brûler», que l’artiste a choisi de tourner un vidéoclip avec Hélène Boudreau et d’autres influenceurs. Il s’agit d’un deuxième vidéoclip pour l’influenceuse, qui demeure très sélective dans ses choix de collaborations. «Ça dépend avec qui je m’associe», précise-t-elle.
Le vidéoclip, réalisé par Fadi Kod lui-même, est filmé à Boisbriand et la chanson Wala3 devrait sortir dans les deux prochaines semaines, mentionne-t-il.
Mais qui est Fadi Kod?
S’il a grandi sur la Rive-Nord de Montréal et y habite toujours, Fadi Kod est pourtant presque inconnu dans son pays natal. Or, celui-ci compte bien inverser la tendance.
«Je suis Québécois. J’ai été connu à l’extérieur du Québec, mais j’aimerais vraiment que le Québec me connaisse. Je veux vraiment que le Québec sache qu’un Québécois a été autour du monde, a été connu et a toujours levé le drapeau du Québec partout où il est allé», souligne-t-il.
L’artiste connu par certains comme le «roi du tambour» a voyagé partout à travers le monde, dont au Mexique, en Grèce, en Roumanie et à Dubaï. Son dernier vidéoclip, Señorita, compte aujourd’hui plus de 15 300 000 vues.