Formation et emplois

15 manies du mauvais patron

Le patron dirige, mais rien n’assure qu’il a le bon mode d’emploi. Au-delà d’avoir eu une bonne idée ou d’avoir un profil de champion, il commet parfois des erreurs. Avant qu’il ne vous empoisonne la vie, reconnaissez un mauvais patron : 15 habitudes qui devraient allumer votre lumière rouge.

Il contrôle le travail de ses employés jusque dans les moindres détails, il «microgère». Une rétroaction trop détaillée vous fera douter de chacune de vos décisions.

S’il a une attitude «tout est important», cela démontre une difficulté à établir des priorités.

Si sa prise de décisions est chaotique, s’il reporte les décisions à plus tard – à trop tard – et s’il se contredit souvent, il désoriente ceux qui sont sous sa direction.

Il ne délègue rien, ne fait pas confiance. Il est là pour coordonner le travail, mais il finit par en accomplir la majeure partie.

Il juge que sa façon de faire est la seule valable. Il ne permet pas aux autres d’emprunter des voies différentes pour arriver au même résultat. Il sabote même leurs efforts pour faire les choses autrement.

Il a toujours des idées géniales… qu’il garde pour lui. Avoir une vision, c’est bien. La partager, c’est mieux. Cela permet à tous de contribuer à la faire évoluer.

À l’inverse, il est tellement pessimiste quant aux projets en cours qu’il donne aux autres le goût de tout laisser tomber. Sans être délirant d’enthousiasme, il ne devrait pas laisser sentir le poids qu’il a sur les épaules.

Il fait preuve d’agressivité. Serrer les poings, hausser la voix ou agiter les bras rend toute conversation moins constructive. Si votre patron utilise ces techniques pour vous faire taire, éloignez-vous-en.

Critiquer publiquement un employé ou laisser entendre qu’un d’entre eux risque de perdre son emploi sont deux erreurs préoccupantes de la part d’un gestionnaire. Diviser pour régner, ce n’est pas une technique enseignée dans les écoles de gestion.

Il est stressé en permanence et le fait savoir. Un patron qui tambourine sur votre bureau ou qui soupire si vous n’accourez pas à son bureau dès qu’il vous demande met une pression telle que cela réduit la productivité de l’équipe.

Il s’assure de toujours rester le meilleur. Le mauvais patron n’aide pas son équipe à progresser en lui offrant davantage de coaching ou de formation.

Le mauvais boss n’accorde pas de crédit pour le travail bien fait. L’excellence lui fait peur, et les idées des autres ne lui semblent jamais bonnes.

Il ne trouve jamais de temps pour ses employés, il ne se présente jamais au bureau ou s’absente sans prévenir. A contrario, quand il est présent, il exige que tous soient disponibles et les trimballe dans des réunions sans jamais leur laisser prendre leur place.

Il coupe la paie de ses employés à partir du calcul de leurs minutes de retard, soigneusement enregistrées. Par contre, il ne remercie jamais pour les heures supplémentaires qui ont permis de terminer à temps un projet urgent.

Non seulement il est workoholic, mais il s’inquiète que vous ayez des loisirs. Ne le laissez pas vous faire sentir coupable d’avoir un chalet ou une passion pour les modèles réduits.

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