IDS-Verdun

Rassembler la communauté verdunoise dans divers projets

L’année 2018 en a été une de réalisations pour la députée provinciale, Isabelle Melançon. Elle souhaite poursuivre sur sa lancée pour avancer d’autres projets en concertation avec les différents paliers gouvernementaux ainsi que les commissions scolaires. Elle voudrait aussi créer des échanges entre Verdunois d’âges et de classes sociales variés.

«Ma grande fierté du mois de novembre est l’ouverture d’un point de service du CLSC à L’Île-des-Sœurs, affirme l’élue. L’annonce des montants [de 232 M$] pour l’hôpital était aussi très importante.»

D’autres projets, comme le lac Lacoursière, restent en discussion. Selon Mme Melançon la dénomination devrait être remplacée par «bassin».

«Un lac où chaque côté est en béton, je n’appelle pas ça un lac. La plus belle des preuves qu’on a eue, c’est la journée où la pompe a lâché et que le lac était vide», soutient-elle.

Elle ajoute que cela permettra alors de faire des aménagements sur le terrain, tandis que les restrictions sont présentement grandes dans les dix mètres environnants.

Cohabitation
«Le gouvernement a parlé de logements sociaux, ce n’est pas mon dossier, mais à Verdun c’est important, alors on va m’entendre, certifie la députée provinciale. D’autant plus que j’ai annoncé 75 M$ à la Ville de Montréal [pour la décontamination des sols] comme ministre de l’Environnement et je veux qu’on ait notre part du gâteau.»

Elle a d’ailleurs eu une rencontre ce mois-ci pour parler de la phase 2 des habitations communautaires Entre-deux-âges pour les personnes en perte d’autonomie à cet endroit.

Elle ajoute que, comme l’éducation restera l’une de ses priorités, elle envisage un nouveau projet de CPE sur les terrains du boulevard Gaétan-Laberge.

«En plus, il me manque de places en garderie à Verdun. Je veux le travailler dans un tout, même chose pour la troisième école à L’Île-des-Sœurs. C’est un grand projet puisque ça va être primaire et secondaire. Pour répondre à plusieurs demandes, avoir une piscine permettrait de faire de l’intergénération», soutient Mme Melançon.

En résultera une meilleure accessibilité sociale et un coût moindre avec une planification dès la conception selon la députée.

Elle souhaiterait aussi garder les jeunes du secondaire à Verdun. «Nos écoles avaient une certaine réputation, elles ont vraiment remonté et font très bonne figure, insiste l’élue. J’aimerais continuer à les accompagner pour que puissent se développer des programmes pour avoir une capacité d’attraction haute chez nos jeunes.»

Elle rappelle la grande présence de la robotique à l’école secondaire Monseigneur-Richard et donne l’exemple d’autres attraits potentiels comme des programmes internationaux.

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