Anticipant une affluence importante en raison de la pandémie, l’organisme Grands Frères et Grandes Sœurs de l’Ouest-de-l’Île (GFGSOI) souhaite recruter une vingtaine de bénévoles d’ici un mois.
Les inquiétudes liées à la santé combinées aux restrictions tant sur la mobilité qu’à l’accès aux activités de base ont fait en sorte de détourner l’attention des mentors en devenir.
Le chômage des parents qui perdurent pour certains, le besoin de réinstaurer une routine d’école après environ six mois à la maison, revoir son entourage après les conséquences des conflits, harcèlement et exclusions sur les médias sociaux, devraient faire augmenter les demandes de service selon GFGSOI.
L’organisme a présentement une liste d’attente de plus d’une cinquantaine d’enfants.
À l’apogée des restrictions et avec les écoles étaient fermées, une diminution importante des signalements d’abus d’enfants auprès des organismes de protection de la jeunesse au pays a été remarquée indique la directrice exécutive de GFGSOI, Megan Semenchuck.
Durant cette même période, Jeunesse J’écoute a vu son volume d’appels grimper de 50% à 350% dépendamment des régions.