« Si on revient au rôle primaire de la pharmacie, c’est ça : la santé, mais aussi le bien-être.
« Le pharmacien est le professionnel de la santé qui est le plus accessible. Il obtient l’une des meilleures cotes de confiance de la part de la population. Ça veut donc dire qu’il existe déjà un lien privilégié avec la communauté. C’est dans cette optique-là que je crois que la pharmacie peut et doit jouer un rôle plus grand dans son quartier », avance-t-il.
Mais comment se traduit concrètement cet engagement social? Dans le cadre de son projet-pilote à Wakefield, sur la Rive-Sud, M. Mailhot a organisé des corvées de nettoyage des berges et un atelier de fabrication de courtepointes – réalisées à partir de vieux vêtements recueillis auprès de la population – qui ont ensuite été remises à des organismes locaux.
« Ça permet aux pharmacies d’avoir un beau rayonnement dans leur communauté », estime-t-il.