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Cinq choses à savoir avant de faire ses boîtes

Photo: Getty Images/Wavebreak Media
  1. «Il ne faut pas attendre à la dernière minute avant de s’approvisionner en boîtes», conseille la très organisée Martine Ménard, qui tient le blogue To Get Set. À quelques jours du 1er juillet, la compétition est féroce! Il suffit souvent de s’informer pour connaître la journée du recyclage dans les commerces près de chez soi et de demander à ce qu’ils mettent de côté quelques cartons qu’on viendra chercher avant que le camion vert ne passe.
  2. Pour évaluer le nombre de boîtes dont on aura besoin, pas nécessaire de se lancer dans de savants calculs, estime la spécialiste. «Je compte une boîte par tiroir, explique-t-elle. Et pour les armoires, je calcule une boîte par tablette.» Mais ce n’est pas tout d’avoir assez de cartons. Encore faut-il bien les préparer : «Mes deux outils essentiels : un marqueur pour bien identifier les boîtes et du ruban adhésif pour bien les sceller, en particulier le fond», fait-elle valoir.
  3. Trier avant d’empaqueter permet d’éviter de déménager des articles dont on ne se sert plus. Il est ensuite facile de vendre ces objets sur un site internet de petites annonces, continue Mme Ménard. «En plus de créer de l’espace, les revenus générés par ces ventes peuvent permettre de payer une partie du déménagement, la peinture ou les nouveaux meubles qu’on souhaite acheter.»
  4. Chaque chose à sa place. Même si certains suggèrent d’emballer les objets fragiles, comme la vaisselle, dans des draps et des serviettes, Martine Ménard ne privilégie pas cette méthode. «Je préfère emballer pièce par pièce, insiste-t-elle. Ça facilite le dépaquetage, surtout si des gens viennent nous aider; ils sauront que tout ce qu’il y a dans la boîte Cuisine va dans la cuisine.» Selon la même logique, elle recommande d’identifier chaque pièce de la nouvelle demeure, par exemple Chambre 1, Chambre 2, Chambre 3, question d’éviter la confusion des déménageurs. Toutes les boîtes se retrouveront ainsi au bon endroit.
  5. Idéalement, on n’emballe pas plus de deux semaines avant le jour J. «Mais il y a toujours la possibilité de commencer à empaqueter plus tôt les choses dont on ne se sert que de manière occasionnelle, comme l’équipement saisonnier», suggère Martine Ménard. Il faut également s’assurer de bien identifier les boîtes contenant le matériel essentiel «si on veut avoir tout sous la main pour déjeuner le lendemain matin», souligne-t-elle.

Martine Ménard vient de lancer un guide pour aménager un bureau.
À télécharger sur le blogue To Get Set

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