Comme l’été touche à sa fin, le moment est parfait pour sortir un film d’horreur qui vous fera déserter les plages, comme Shark Night 3D (Requins 3D), du même réalisateur que Snakes on a Plane, David Ellis. Notre journaliste a rencontré ce dernier et l’une des vedettes du film, Katharine McPhee, finaliste de l’émission American Idol, pour sonder ce qu’ils étaient prêts à dévoiler au sujet du film, c’est-à-dire très peu.
Que pouvez-vous nous dire au sujet du film Shark Night 3D, sans trop en dévoiler?
David Ellis : Il y a des requins dans le film. (Rires.) Il est vraiment étrange. Et une grande partie du film se déroule la nuit.
Katharine McPhee : Je joue dedans.
D.E. : Kat joue dedans.
K.M. : Mon personnage s’appelle Beth. Je n’en sais pas plus.
David, vous connaissez bien les films de genre. À titre de cinéaste, qu’est-ce qui vous attire dans ces films?
D.E. : Pour moi, je pense qu’il est plaisant de pouvoir divertir les gens, qui, eux, peuvent s’évader de toutes les choses aberrantes qui se passent dans le monde pendant une heure et demie et s’amuser. J’aime les effrayer, les faire rire, les faire pleurer et jouer avec leurs émotions.
K.M. : Tu aimes faire pleurer les gens.
Katharine, comment décririez-vous l’expérience de Shark Night pour vous?
K.M. : Oh! C’était tellement amusant! J’aime être sur un plateau. J’aime me lever tôt. Je veux dire, en temps normal, je ne me lève jamais tôt, mais, quand mon réveille-matin sonne, j’adore me rendre sur le plateau, prendre un café et un petit déjeuner et aller me faire coiffer et maquiller. J’aime tous les aspects, alors l’expérience au complet est incroyable. Nous avons tourné à Shreveport, en Louisiane, et même s’il n’était pas particulièrement exotique, cet endroit était superbe. J’aime découvrir de nouveaux endroits et avoir l’impression de commencer quelque chose de nouveau.
D.E. : J’aime la nourriture gratuite. Chaque jour, on se rend sur le plateau, où il y a toute cette nourriture gratuite. Mais l’expérience a été très plaisante pour moi parce que l’équipe était incroyable et que la distribution se donnait à fond.
Aviez-vous peur des requins avant de tourner le film?
K.M. : Quand j’étais enfant, je passais des heures à nager dans l’océan. J’aime énormément la baignade. Mais, dans le fond de moi-même, il y avait toujours cette crainte qu’un requin m’attaque. Je pourrais dire que, à cause du film, c’est maintenant une menace plutôt qu’une crainte.
D.E. : Quant à moi, qui ai aussi grandi dans l’océan – j’ai passé ma vie entière à Malibu – je suis conscient d’eux, je les respecte. Il y a plus de risque d’être assommé par une noix de coco que d’être tué par un requin. Mais c’est l’une des peurs primitives des gens.
K.M. : Ce n’est pas ainsi que l’on souhaiterait mourir. Je peux trouver d’autres façons de mourir que
manger par un requin.
En ce qui concerne la mort de vos personnages, à quel point êtes-vous imaginatifs?
D.E. : Très imaginatif. Chacune est différente et unique. Le plus génial, c’est qu’il y a beaucoup de types différents de requins. Il y a le requin-marteau, le grand requin blanc, le requin bouledogue, le requin emporte-pièce…
Je ne le connais pas celui-là.
D.E. : Vous le reconnaîtrez lorsque vous verrez Kat. C’est l’un de ses amis. Oui, elles sont uniques. En plus des personnages du film, il y a beaucoup de personnages différents joués par les requins.
Shark Night 3D
En salle dès vendredi