Les Boys revivent leurs vacances de Noël de 1967, alors qu’ils étaient des adolescents qui ne pensaient qu’aux filles et au hockey. Portrait d’équipe de la gang à Stan dans cet antépisode intitulé Il était une fois les Boys (en salle dès aujourd’hui), pour lequel il a fallu choisir quelques garçons parmi des milliers de candidatures.
La dureté du mental, Samuel Gauthier connaît, à l’instar de Marc Messier à une autre époque.
Il chausse d’ailleurs les patins de Bob qui est, selon le comédien, un «leader né qui est à l’aise au hockey, avec les filles et qui aime contrôler».
Son bon ami Stan n’est plus joué par Rémy Girard qui aurait rajeuni de quelques décennies, mais par Simon Pigeon, qui prête ses traits à cet ado sensible et passionné qui ne pense qu’au hockey et qui, selon ses dires, «est l’élément déclencheur du film.»
Ben est le seul personnage qui n’apparaît pas dans les quatre films ou la série télévisée. C’est probablement le meilleur joueur du groupe, celui qui a le plus confiance en lui et qui est toujours de bonne humeur.
«Il sait qu’il s’en va dans la Ligue Nationale et il se fout un peu de l’école, raconte son interprète Maxime Gibeault, qui en est à son premier rôle à l’écran. En plus, c’est lui qui amène les filles!»
Difficile de trouver mieux que Maxime Desjardins-Tremblay (Le ring) pour personnifier le méchant Méo qui a rendu célèbre Pierre Lebeau.
«C’est le petit goon au passé dur qui donne un peu aux autres tout son vécu et sa coquille pour les protéger», résume l’acteur.
Il y a eu Paul Houde et Luc Guérin. Il y a maintenant Jassen Charron et Derek Poissant qui campent respectivement Fernand le gardien qui sait tout et Marcel les yeux croches.
«On est les deux comiques dans le film», explique le jeune Jassen Charron, que l’on a pu voir dans Gerry. «On est un peu la base des Boys, continue son coéquipier, qui en est à sa première expérience au cinéma. Ce sont ces deux-là qui réunissent la gang.»
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