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Air Canada se justifie d’avoir ramené des influenceurs de Tulum 

Un avion d'Air Canada.

Un avion d'Air Canada.

Même si Air Canada avait pris la décision de refuser l’embarquement aux passagers du vol de Sunwing qui a mal viré, quelques-uns d’entre eux ont réussi à se faufiler dans ses avions pour revenir à Montréal. Le transporteur a pris le temps de se justifier sur les réseaux sociaux.  

La compagnie explique qu’elle n’avait pas accès au manifeste des passagers de Sunwing – c’est-à-dire le document contenant les noms des voyageurs présents lors du vol en question. Elle n’a donc pas pu les identifier avant l’embarcation. Oups! 

L’information a été partagée par le journaliste Pascal Robidas de Radio-Canada ce jeudi sur son compte Twitter.  

«Dans la mesure où il est possible pour nous d’identifier les passagers qui faisaient partie du groupe, nous leur refusons l’embarquement afin d’assurer la sécurité des autres passagers et de nos équipages. C’est pour cette raison que nous avons refusé l’embarquement à 15 personnes hier et à quatre autres ce matin», peut-on lire dans la déclaration. 

Air Canada conclut en disant qu’elle ne fera «aucun autre commentaire sur cette affaire» puisqu’elle implique «un autre transporteur». 

Sunwing et Air Transat ont aussi banni le groupe de fêtards, dans lequel on trouve quelques anciennes vedettes de téléréalité, dont Sandrine, Anna-Maëlle et Isabelle de L’île de l’amour ainsi que Karl Sabourin d’Occupation double Afrique du Sud.  

Leurs comportements, maintenant devenus viraux sur Internet, font réagir autant au Québec qu’à l’international. 

Comment reviendront-ils au Québec? À suivre! 

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