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Le président de la SSJB se porte candidat au PQ

Le président de la Société-Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Maxime Laporte. Photo: Archives | Métro
La Presse canadienne - La Presse Canadienne

MONTRÉAL — Le président général de la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal, Maxime Laporte, a annoncé lundi son intention de briguer l’investiture du Parti québécois (PQ) dans la circonscription de Pointe-aux-Trembles, à Montréal.

L’actuelle députée péquiste de Pointe-aux-Trembles, Nicole Léger, a annoncé la semaine dernière qu’elle ne serait pas candidate aux élections d’octobre prochain.

Maxime Laporte, qui est âgé de 30 ans, compte présenter au cours de sa campagne un programme comprenant des propositions visant l’amélioration de la qualité de vie des familles et des travailleurs, l’avancement de la justice sociale, de même que des mesures pour l’environnement et le respect de la diversité.

Maxime Laporte, qui est avocat, est devenu le 80e président de l’histoire de la SSJB en 2014.

Alors que le retour possible au PQ de l’ancien chef d’Option nationale Jean-Martin Aussant pourrait se faire dans Pointe-aux-Trembles, M. Laporte ne veut pas «spéculer» sur les candidatures potentielles dans la circonscription et veut se mettre rapidement au travail.

«Spéculer sur le PQ, ce sont des mots qui vont très bien ensemble dans notre univers médiatique. Pour ma part, je ne spécule pas. Ce qui m’intéresse, c’est l’action. Je suis un rassembleur. Je suis un mobilisateur. Je veux présenter mes idées», a dit en entrevue M. Laporte, qui devait commencer le travail de terrain dès lundi soir.

«J’ai reçu beaucoup de messages de militants, de militantes, qui m’appuient et qui veulent m’aider. À toutes fins pratiques, mon équipe est pratiquement formée, puis structurée, et on est déjà en train de prévoir des blitz de terrain, de mobilisation téléphonique également», a-t-il indiqué.

Concernant les sondages qui laissent croire que le PQ perd des plumes et risque de glisser sous les 20 pour cent d’appuis, M. Laporte fait valoir le caractère résilient de la formation politique.

«Ce grand parti nous a toujours surpris dans l’histoire. Il a une capacité de rebondissement comme dit le chef. Et pour ma part, je n’agis pas en fonction des sondages, ou des spéculations. J’agis, point», a affirmé ce néophyte en politique, qui dit demeurer un «militant citoyen dans l’âme».

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