Culture

Une 23e édition entièrement numérique pour les RIDM

Une image du documentaire CHSLD, Mon Amour

Les documentaires québécois CHSLD, Mon Amour, Les libres et Prière pour une mitaine perdue font partie de la programmation de la 23e édition des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), annoncée mercredi.

Pour les raisons que vous connaissez, le festival aura lieu entièrement en ligne, du 12 novembre au 2 décembre. En tout, 109 films de 45 pays, dont 48 longs métrages, seront diffusés sur la plateforme en ligne du festival.

Les documentaires ont été répartis en huit grandes thématiques sociales afin de «faire dialoguer les œuvres entre elles». Ainsi, les cinéphiles sont invités à «confronter l’histoire», «explorer la nature», «trouver ses communautés», «réfléchir la dystopie», «devenir soi-même», «contester le pouvoir», «repenser l’intimité» et «survivre à la violence».

Toutes les œuvres rassemblées dans une même catégorie seront accessibles en ligne sur une période d’une semaine.

Un festival paritaire

Les festivaliers peuvent se procurer le passeport des RIDM, qui donne accès à l’ensemble de la programmation au coût de 70$. Il sera également possible de s’abonner à une des huit sections thématiques au coût de 15$.

En plus des films qui y seront diffusés, les RIDM présenteront comme chaque année des discussions, des balados et des ateliers virtuels.

À noter que le festival atteint la parité hommes-femmes. Quelque 52% des créations qui y seront présentées sont les œuvres de réalisatrices.

Si la santé publique permet la réouverture des salles de cinéma d’ici le début des RIDM, certaines séances en chair et en os pourraient s’ajouter à la programmation, indiquent les organisateurs. Avant la deuxième vague de la pandémie, le festival prévoyait avoir lieu sous une forme hybride.

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