Sarah Carter se présente pour le Parti vert du Canada dans la circonscription de LaSalle–Émard–Verdun. Elle est aussi candidate au doctorat en histoire de l’art à l’Université McGill.
L’Ontarienne d’origine a emménagé à Verdun il y a quatre ans pour entreprendre ses études dans la métropole.
Elle a auparavant obtenu son baccalauréat et sa maîtrise à l’Université de Guelph.
Mme Carter a grandi à Orangeville en Ontario.
«Je me suis présenté pour m’assurer que les électeurs aient la possibilité de voter vert. Aussi, je ressens beaucoup d’anxiété quand je regarde l’avenir. Les politiciens sont trop lents à agir sur les questions environnementales. Je veux m’assurer que la voix des électeurs soit entendue», s’exclame-t-elle.
Sarah Carter affirme que la plateforme du Parti vert est non seulement orientée vers les enjeux environnementaux, mais également vers la justice sociale, la réconciliation avec les Premières Nations et une économie plus libérale.
Selon Mme Carter, les électeurs de la circonscription se sentent concernés par les changements climatiques, mais voudraient aussi un système de santé plus abordable.
Âgée de 31 ans, elle espère que sa candidature incitera non seulement les jeunes, mais aussi les femmes et les minorités, à s’intéresser à la politique et à s’impliquer dans ce domaine.
«J’encourage les jeunes à voter. C’est très important pour moi», dit-elle.
Sans enfant, elle est fiancée et prévoit se marier l’an prochain.
Elle croit que tous les candidats devraient habiter dans leur circonscription afin d’être impliqués dans leur communauté et de mieux la représenter.