Blessée par son ami Philinte, impressionnée par Célimène la rayonnante, Alceste voudrait s’enfuir. Loin des autres, loin du bruit, quelque part dans la nuit.
Alceste préfère la nuit au jour, c’est plus doux, plus calme, et elle y est seule. L’orage dans sa tête explose moins fort. Elle laisse alors son petit cœur-oiseau s’envoler, tout léger, tout léger.
C’est dans l’intimité que trois cœurs se dévoilent, lorsqu’on fait assez confiance à l’autre pour enfin se montrer vulnérable et dévoiler cette part enfouie en nous.
Source: montreal.ca
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